karon le paradis perdu aprés pluton....il existe

elle hante mes rêves

habite mes journées

elle sera présente dans mes pensées

jusqu'à ce que je crève

elle est là

toute proche

c'est pas l'himalaya

je m'approche

essaye de la toucher du bout du doigt

même si ici tous y croit

j'en suis persuader

la liberté

c'est pas un caddy remplie

la liberté

c'est pas juste désirer

prendre son envolée

en tournant ses pouces

la liberté

c'est commencer mousse du bateau

de notre vie

pour finir capitaine du radeau

de nos envies

je vous aime madame la liberté

je vous aime car vous êtes la possibilité incarné

même si je ne dois que rêver de vous

Histoire de dire que si demain c'est loin

Il n'est pas trop tard pour se coucher tôt

Juste pour dire que si l'essentiel se tient à une goutte d'eau

Ma goutte d'eau je la tient par la main

Histoire de dire que si je doit la trouver belle

C'est surtout parce que on me l'a dit

Quand j'etais petit Juste histoire de dire qu'en elle

J'y crois pas plus que ça

Histoire de dire que toi et moi sans nous

juste dire que ça n'a pas de sens

histoire de dire que sans dessus-dessous

au bout d'une corde je serais

juste histoire de dire que je suis mort hier

car elle m'a quitter peu avant.

les koan sont des petite phrases ou histoire qui ont pour but de faire reflechir d'une "autre" maniere notre esprit. ll etaient à l'origine ecrit et lu par les moines japonais. en voici l'un d'entre eux, celui-ci n'est pas japonais mais il est bien quand meme...:

LE PRINCIPE DE LA GRENOUILLE

" Imaginez une marmite remplie d'eau froide dans laquelle nage
tranquillement une grenouille. Le feu est allumé sous la marmite, l'eau
chauffe doucement. Elle est bientôt tiède. La grenouille trouve cela plutôt
agréable et continue à nager.

La température continue à grimper. L'eau est maintenant chaude. C'est un peu
plus que n'apprécie la grenouille, ça la fatigue un peu, mais elle ne
s'affole pas pour autant.

L'eau est cette fois vraiment chaude. La grenouille commence à trouver cela
désagréable, mais elle s'est affaiblie, alors elle supporte et ne fait rien.
La température continue à monter jusqu 'au moment où la grenouille va tout
simplement finir par cuire et mourir, sans jamais avoir fait quelque chose
pour s'extraire de la marmite.

Si la même grenouille avait été plongée directement dans l'eau à 50°, elle
aurait immédiatement donné le coup de patte adéquat qui l'aurait éjectée
aussitôt de la marmite..

Cette expérience montre que, lorsqu'un changement s'effectue d'une manière
suffisamment lente, il échappe à la conscience et ne suscite la plupart du
temps aucune réaction, aucune opposition, aucune révolte ".